Le groupe Barma a mené une étude générale sur la pornographie  en posant diverses questions à plus de 3000 adultes américains. Ce projet de grande ampleur vise à mieux cerner les nouveaux comportement sociaux vis à vis du sexe en ligne. Voici ci-dessous les résultats de cette enquête.

Le nouvel age de la pornographie 

Le porno est presque devenue entièrement numérique.
71% des adultes, et 85% des jeunes adultes ont visionné des vidéos porno en ligne
Les magazines, romans, vidéos à la demande, le câble, ou DVD achetés ne représentent qu’une très petite partie du «marché».

Non seulement il est devenu plus accessible dans le contexte numérique, mais la part de sexe non sollicité a aussi considérablement augmenté . Près de la moitié des jeunes adultes disent qu’ils viennent consulter du porno au moins une fois par semaine, même quand ils ne le cherchent pas volontairement. Près des trois quarts des jeunes adultes (71%)  ont consulté des pages internet qu’ils considèrent être du porno au moins une fois par mois, qu’ils le cherchent volontairement ou non.

Pour quoi et quels usages ?

Pour les Américains, le porno est plus une question de fonction que de forme.
Le porno est défini principalement comme fonction d‘excitation sexuelle.
La plupart des Américains ne croient pas que la nudité intégrale ou partielle puisse être assimilable à du porno.
Il y a un large éventail de définitions de la pornographie à travers différents segments de la société.

Les jeunes adultes sont plus susceptibles que les adultes de consommer du porno par ennui, curiosité ou plaisir.
Les 25/ 50 ans ont tendance à plutôt l’utiliser pour obtenir des conseils de sexe ou pour créer une ambiance avec un partenaire.

Moralité

Le porno est un sujet beaucoup plus facilement « recherchable » qu’il ne l’était il y a deux décennies. Il n’est plus victime d’un  tabou social comme il était autrefois. Lorsque les répondants ont été autorisés à passer les questions de nature personnelle, plus de 90% ont tout de même continué à répondre aux questions de l’enquête.

 La plupart des Américains croient que le porno est « mauvais pour la société», mais ces attitudes se déplacent vers la neutralité ou «bon pour la société » parmi les jeunes générations.

Seulement une petite minorité d’adultes éprouve de la «culpabilité» lors de la consultation de sites à caractère pornographique. Les jeunes femmes et les chrétiens sont les segments de la population à ressentir de plus de culpabilité.

Les jeunes adultes « encouragent » et « acceptent » les conversations concernant la thématique de la sexualité. Quand ils parlent de sexe avec des amis, 95% des jeunes adultes disent qu’ils le font dans un état neutre, d‘acceptation, ou d’encouragement. Autrement dit, seulement un jeune sur 20 pense qu’il est mal de parler de pornographie avec ses amis.

Les jeunes adultes estiment que « ne pas recycler les déchets » est plus immoral que la visualiser du porno.
 32% disent que regarder du porno est «habituellement ou toujours mal», comparativement à 56% qui disent que ne pas recycler est «habituellement ou toujours mal« 

Utilisation croissante de la part des femmes

Alors que la pornographie est généralement un domaine d’hommes, son utilisation chez les jeunes femmes semble être devenue plus fréquente, peut-être en raison de l’accès numérique.
Les jeunes femmes sont beaucoup plus plus susceptibles de rechercher activement du porno que les femmes de plus de 25 ans.
Cependant, plus de la moitié des femmes de 25 ans ou moins n’ont jamais cherché de porno contre 27% chez les femmes de plus de 25 ans.

Utilisation du mobile

La plupart des jeunes adultes envoient des « sextos » ou des images explicites à des fins sexuelles.
62% des jeunes adultes ont reçu une image sexuellement explicite et 41% en ont envoyé une.

Ceara Lynch gagne sa vie en tant que modèle spécialisée dans la domination et les fétiches des plus communs aux plus insolites. Contrairement aux autres modèles elle ne retire pas ses vêtements  et ne pratique pas d’actes sexuels à proprement dit. Cette dominatrice est une experte en  humiliations verbales,  chantage consenti, déni de jouissance, tenues cuir & latex, etc..

Ceara Lynch a découvert la profession durant ses études lors d’un voyage d’échange au japon. A 17 ans elle était hébergée par une famille japonaise  qui ne parlait pas un mot d’anglais. N’ayant personne avec qui parler dans sa langue natale, elle se connectait sur le web pour passer le  temps. Très vite elle fut abordée sur les réseaux sociaux par un homme qui lui proposa 250$ pour lui acheter une bouteille de son urine. Après avoir accepté l’offre, elle se demanda s’il y avait d’autres hommes comme lui intéressés par ses fluides corporels; Très vite elle se rendit compte que ce monsieur était loin d’être un cas isolé. C’est ainsi que commença sa carrière dans le milieux de la domination et du fétichisme.

Elle réalise des shows par webcam, vidéos sur demande, ou vente d’objets personnels. Certains hommes adeptes de domination financière paient pour la regarder dépenser leur argent. Pour les non initiés, la domination financière consiste à donner son argent à une femme dominante. Ces hommes se sentent faibles en présence de femmes confiantes, et deviennent excités en regardant leurs comptes bancaires dilapidés par celles-ci. Certains vont même jusqu’à avoir le fantasmes d’être conduit à la faillite par ces dames. Une de ses expériences les plus mémorables est celle d’un homme ayant enregistré sa carte bancaire sur le site de de Saks Fifth Avenue pour qu’elle dépense 10.000$ en sacs, vêtements, chaussures et divers objets de marque. Cet homme prenait du plaisir sexuel à se faire dépouiller par des filles intéressées uniquement par son argent.

D’autres hommes donnaient les informations de contact de leur femme (mail, téléphone, etc..), puis se photographiaient dans des tenues compromettantes et humiliantes (en robe, collants, porte jartelles, etc..). Son rôle était de les faire chanter et leur extorquer de l’argent pour ne pas tout balancer à leur femme. Ses clients aimaient se retrouver dans une situation où ils étaient obligés de payer.

L’objet de jouissance de ces hommes réside dans leur soumission au pouvoir de la dominatrice et non pas dans un acte sexuel quelconque. Tout comme certaines femmes prennent du plaisir à se faire dominer par un homme, certains hommes prennent du plaisir à se faire dominer par une femme. Ce n’est pas l’acte sexuel à proprement parler qui est source de jouissance mais plutôt le pouvoir de domination exercé sur eux par la maitresse. La femme stricte, qui ordonne et humilie, devient le symbole de la toute puissance féminine, maitresse de leur jouissance masculine.

Une jeune femme s’est filmée en fondant en larmes devant sa  webcam, car elle prétend défendre un nouveau type de sexualité, le porno émotionnel.

Dora Moutot a créé une chaîne appelée « porno émotionnel»  et celle-ci est devenu très populaire auprès des Dacryphilies, des gens sexuellement excités par des femmes sanglotant, ainsi que dans la communauté bdsm.

L’artiste parisienne, qui a commencé à se filmer en pleurant devant son écran d’ordinateur, car elle se sentait seule, encourage maintenant les autres filles à pleurer aussi devant la caméra. Webcam tears est le nom de son projet collaboratif voyeuriste inspiré de Laurel Nakadate, qui a enregistré sa tristesse pendant un an dans un projet intitulé 365 jours: un catalogue de larmes.

Elle explique que montrer ses parties génitales sur internet n’a plus rien de choquant, et que les larmes sont une nouvelle expression de la pornographie. Selon Dora les émotions seraient plus choquantes qu’une queue ou une chatte aujourd’hui. Les larmes rendraient les gens plus inconfortables que le porno.

Le site dont il est question dans l’article n’est pas référencé sur 01sexcam à cause de ses nombreuses failles de sécurité déjà révélées ici ou sur certains médias alternatifs anglophones. Cette nouvelle affaire ne vient que conforter notre choix de ne pas leur faire de pub.

Après voir découvert que ce live avait déployé une très faible sécurité pour les mots de passe des modèles et clients, voici maintenant la sombre affaire des « jetons » piratés par un ex employé . Ces jetons sont généralement achetés directement à partir de l’interface client des utilisateurs, mais ce pirate prétend vendre pour des centaines de milliers de dollars des jetons à prix cassés.

Potentiellement des millions de ces jetons sont annoncés en vente sur le dark web, par une personne qui prétend être un ancien employé de la société.

Ainsi 100.000 jetons sont proposés aux prix de seulement 3 bitcoin (soit un peu moins de 10% de la valeur réelle)

Cet ex employé et son complice auraient ajouté des failles dans le code du site pour alimenter certains comptes clients afin de leur permettre de transférer des jetons pour ensuite les transférer aux acheteurs.

Plus étonnant encore la plupart de leurs clients seraient des modèles qui utiliseraient ces jetons hackés pour créditer leurs comptes et gagner de l’argent. Mais vu que ces crédits n’ont pas été payés par des clients cela crée des pertes pour le site.

Les pirates disent vouloir vendre leurs jetons à quiconque pour un très bas prix afin de détruire le live qui les employait jadis. Chaque fois qu’un modèle est payée avec ces jetons hackés, le live doit reverser 0,05 $ par token gagné, mais si ces jetons ont été générés sans achat réel, le site perd de l’argent.

Être une camgirl n’est pas tous les jours facile. Elles sont de plus en plus sujettes à des tentatives d’intrusion sur leur pc, diffusion illégale de leur contenu sur internet, révélation de leur identité. Pour protéger leurs informations personnelles et le fruit de leur travail elles sont contraintes de prendre des mesures de sécurité. Mais le phénomène du blackmailing est tel que leurs efforts n’arrivent pas à endiguer le phénomène. 

Lindsay Dye,  modèle webcam et photographe, a été victime de l’un de ces personnages abjects. Son maitre chanteur avait extrait les photos de ses vidéos pour réaliser des affiches et posters qu’il comptait revendre à des clients. C’est pourquoi elle a décidé de contre attaquer en vendant les photos qui étaient objets de menaces et chantages. Ses gravures sont maintenant en vente sur son site personnel, et ses œuvres d’art qui sont en vedette dans les images, sont comme un moyen de récupérer son travail. Cela fait partie d’un projet en cours  intitulé Buy Me Offline.

Lindsay est frustrée de voir tous ses efforts ruinés par ces personnes sans scrupules. Car ce n’est pas la première fois qu’elle est victime de blackmailing, elle reçoit fréquemment des mails d’hommes qui menacent de revendre ou publier son contenu si elle ne se soumet pas à leurs désirs.

Ohmibod est une marque qui propose toute une gamme de sextoys connectés qui répondent à diverses stimulation tel que les sons , la voix, la musique, déclenchement en tapotant l’écran de votre smartphone, etc.. Ces sextoys nouvelle génération sont capables de se connecter par bluetooth ou wifi à votre smartphone et peuvent déclencher toute une gamme de stimulations.

Ce sextoy s’insère dans le vagin et se maintient grâce à une culotte, dés qu’un stimuli est détecté (musique, son, voix, déclenchement tactile, ou autre) il se met à vibrer à différents niveaux de vibration. Chaque musique ou son déclenche différents modèles de vibrations et une intensité variable. Il est possible de paramétrer l’appareil pour qu’il réponde par certaines stimulations définies à l’avance.

L’idée géniale de certaines filles a été de détourner son usage classique pour l’adapter au camming. Ainsi, en le paramétrant pour réagir aux sons, dés qu’un client donne un pourboire (tip/don), le bruit engendré déclenche des vibrations du sextoy inséré dans le vagin et donne des orgasmes à la fille. Le client prend ainsi le contrôle du plaisir de l’hôtesse grâce à ses dons de crédits. Plus une hôtesse recevra de jetons, plus l’appareil déclenchera des vibrations longues et intenses. C’est plutôt inventif comme concept, cela permet à celles qui utilisent cette technologie de transformer les dons de crédits en véritables orgasmes.

Envie de prendre le contrôle d’un business de modèles webcam ? Voici HunieCam Studio. Le but du jeu est de recruter des filles, et essayer de faire autant d’argent que possible grâce à elles. Vous devrez favoriser les modèles selon les tendances du moment et des envies des clients. Jusqu’à 20 filles sont disponibles, et vous pouvez aussi les utiliser pour les envoyer dans des clubs de strip tease, rejoindre des conférences pour rencontrer leurs fans, les envoyer au spa pour se détendre. Faites la promotion de votre affaire auprès de communautés coquines pour augmenter votre chiffre d’affaire, débloquez des sextoys et accessoires pour booster les revenus de votre affaire, analysez les statistiques de vos filles et clients pour optimiser vos gains.

Le jeu est en version pre-Alpha, la date de sortie officielle est prévue pour bientôt

Aperçu du jeu

Teaser vidéo :