Sorti le 04 avril sur Steam (plateforme de gaming) au tarif de 6,99$ Hunie cam studio vous propose de prendre les commandes d’une entreprise de cam girls. Vous devez gérer des filles, en recruter, élever leurs niveaux de compétences, vous assurer qu’elles rapportent de l’argent dans vos caisses, tout en augmenter leur popularité . Mais ce n’est pas tout vous devez aussi veiller à leur bien être et détente, en leur achetant par exemple  des cigarettes, des médicaments pour les soigner, ou encore de nouveaux sextoys au centre commercial.
Tout est bon pour maintenir leurs performances au top. Vous avez 21 jours (soit environ 1h30 de gameplay) pour faire un maximum de $ en augmentant constamment la popularité de vos filles. Vous allez devoir mettre à rude épreuve vos talents de manager.

Démo du jeu (game play) :

La WebEye VR pourrait révolutionner les liveshow et augmenter le degré de réalisme des shows webcam. Avec sa stéréoscopie à 160 degrés et son affichage en Full HD à 30 FPS (Frames Per Second), WebEye VR vous permet de regarder haut, en bas, à gauche ou à droite tout en ayant une perception de profondeur et d’immersion dans l’environnement 3D que vous observez. Vous avez littéralement l’impression d’être dans la même pièce que la personne.

Cette technologie virtuelle apporte quelque chose d’innovant dans le secteur de la caméra. La visualisation immersive dans un visiocasque (HMD) exige plus que les capacités actuelles de votre caméra vidéo ne peut fournir, ce qui conduit à un flot de nouveaux produits qui comprennent le 360 degrés et la capture 3D entre autres. Pour parler aux gens sur des services tels que Skype, il n’y a pas encore de véritable solution VR pour les webcams.

Mais la société prévoit de changer cela dans les mois à venir grâce à leur campagne sur kickstarter afin de récolter 40.000$ de fonds. Le produit est en précommande au tarif de 329$ pour le grand public. Enfin, une plateforme stremaing dédiée permettra aux utilisateurs de visualiser les flux à travers un Oculus, Google carton, Samsung GearVR ou HTV Vive casque, sur une connexion Internet 4Mbit / sec. De quoi révolutionner le monde du live streaming.

Alix Lynx, 26 ans, New York (usa), était une étudiante brillante qui a obtenu un diplôme universitaire de type MBA dans les communications et le marketing numérique. Autant dire que sous ses airs de bimbo se cache un vrai cerveau. Quand Alix Lynx a réalisé que sa carrière en tant que directrice de la communication n’était pas pas garanti à long terme à causes des licenciements répétés dans sa société, elle a sauté sur l’occasion pour réaliser son rêve de longue date, devenir une webcam girl et star du porno.

Quelques amis proches étaient dans le secret, mais le monde entier l’a découverte l’année dernière quand elle jouait dans une vidéo virale où elle donnait du plaisir oral avec sa bouche.

C’est une série de mises à pied qui l’a amenée à devenir une fille en cam et, finalement, une star du porno à temps plein.

Elle a dit à Cosmopolitan que le porno était quelque chose qu’elle voulait faire depuis l’adolescence … Certains de ses amis savaient. C’est en feuilletant des magazines playboy chez un ami qu’elle s’est dit  «  La vache, ces filles sont belles. Je veux être être comme ça ! « 

Alix dit avoir caché pendant des années son rêve de devenir une star du porno en expliquant avoir grandi dans une ville conservatrice qui lui avait toujours porté à croire qu’elle avait besoin d’aller à l’université et suivre un chemin traditionnel.

Elle a poursuivi en disant qu’elle a perdu sa virginité à l’age de 16 ans avec son petit ami de lycée. En ajoutant «Bien sûr, quand vous avez 16 ans, vous n’allez pas dire aux gens que vous voulez faire du porno, donc j’ai gardé ça pour moi et je ne l’ai dit à personne. »

Ce ne fut que lorsque son petit ami puis lui a demandé si elle aimait la nouvelle affiche mettant en vedette une star du porno, qu’Alix a admis penser que l’industrie du divertissement pour adultes était «cool» et qu’elle s’imagina avoir des relations sexuelles filmées.
Mais son partenaire l’a menacé de la jeter si jamais elle faisait du porn alors elle laissa tomber l’idée.

Alix pris un emploi comme assistante dans un cabinet de relations publiques et après six mois de travail, elle fut promue directrice de compte ,cependant, elle a fini par se retrouver mise à pied, car la société avait des difficultés financières. Elle continua de travailler en tant que social media manager, mais son salaire avait diminué.

Le déclic vint à elle lorsqu’un de ses amis de sexe masculin lui avoua qu’il ne pouvait pas cesser d’aller sur les sites de webcam derrière le dos de sa petite amie. Stimulée par la curiosité, Alix commença à faire des recherches sur ces filles et signa à son tour pour créer un compte.

Elle a dit: «Je ne savais pas à quoi m’attendre. Lorsque vous êtes une nouvelle, vous êtes étiquetée en jaune vif. Les membres aiment les nouvelles filles parce qu’elles sont «fraîches», ils ont afflué vers moi quand je me suis connectée.

Après avoir fait environ 287$ en trois heures de temps devant sa caméra, Alix se demandait pourquoi elle continuait encore de travailler à temps plein dans un travail de bureau qui lui versait seulement 650$ la semaine. Mais elle a gardé son travail de bureau jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus le tolérer, car elle s’était beaucoup investie dans les études.

Après avoir travaillé sur les live show durant une année, une série de décès dans sa famille lui a fait comprendre qu’elle devait vivre la vie comme elle le voulait et faire ce qui la rendait heureuse.

Il a fallu attendre Août dernier pour que ses proches découvrent sa nouvelle carrière, quand un ami Facebook a partagé une vidéo virale d’elle-même et deux autres stars du porno montrant comment donner du sexe oral.

Cependant, Alix dit que bien que sa famille n’a pas nécessairement approuver son choix de carrière, ils sont toujours d’un très bon soutien.

Le groupe Barma a mené une étude générale sur la pornographie  en posant diverses questions à plus de 3000 adultes américains. Ce projet de grande ampleur vise à mieux cerner les nouveaux comportement sociaux vis à vis du sexe en ligne. Voici ci-dessous les résultats de cette enquête.

Le nouvel age de la pornographie 

Le porno est presque devenue entièrement numérique.
71% des adultes, et 85% des jeunes adultes ont visionné des vidéos porno en ligne
Les magazines, romans, vidéos à la demande, le câble, ou DVD achetés ne représentent qu’une très petite partie du «marché».

Non seulement il est devenu plus accessible dans le contexte numérique, mais la part de sexe non sollicité a aussi considérablement augmenté . Près de la moitié des jeunes adultes disent qu’ils viennent consulter du porno au moins une fois par semaine, même quand ils ne le cherchent pas volontairement. Près des trois quarts des jeunes adultes (71%)  ont consulté des pages internet qu’ils considèrent être du porno au moins une fois par mois, qu’ils le cherchent volontairement ou non.

Pour quoi et quels usages ?

Pour les Américains, le porno est plus une question de fonction que de forme.
Le porno est défini principalement comme fonction d‘excitation sexuelle.
La plupart des Américains ne croient pas que la nudité intégrale ou partielle puisse être assimilable à du porno.
Il y a un large éventail de définitions de la pornographie à travers différents segments de la société.

Les jeunes adultes sont plus susceptibles que les adultes de consommer du porno par ennui, curiosité ou plaisir.
Les 25/ 50 ans ont tendance à plutôt l’utiliser pour obtenir des conseils de sexe ou pour créer une ambiance avec un partenaire.

Moralité

Le porno est un sujet beaucoup plus facilement « recherchable » qu’il ne l’était il y a deux décennies. Il n’est plus victime d’un  tabou social comme il était autrefois. Lorsque les répondants ont été autorisés à passer les questions de nature personnelle, plus de 90% ont tout de même continué à répondre aux questions de l’enquête.

 La plupart des Américains croient que le porno est « mauvais pour la société», mais ces attitudes se déplacent vers la neutralité ou «bon pour la société » parmi les jeunes générations.

Seulement une petite minorité d’adultes éprouve de la «culpabilité» lors de la consultation de sites à caractère pornographique. Les jeunes femmes et les chrétiens sont les segments de la population à ressentir de plus de culpabilité.

Les jeunes adultes « encouragent » et « acceptent » les conversations concernant la thématique de la sexualité. Quand ils parlent de sexe avec des amis, 95% des jeunes adultes disent qu’ils le font dans un état neutre, d‘acceptation, ou d’encouragement. Autrement dit, seulement un jeune sur 20 pense qu’il est mal de parler de pornographie avec ses amis.

Les jeunes adultes estiment que « ne pas recycler les déchets » est plus immoral que la visualiser du porno.
 32% disent que regarder du porno est «habituellement ou toujours mal», comparativement à 56% qui disent que ne pas recycler est «habituellement ou toujours mal« 

Utilisation croissante de la part des femmes

Alors que la pornographie est généralement un domaine d’hommes, son utilisation chez les jeunes femmes semble être devenue plus fréquente, peut-être en raison de l’accès numérique.
Les jeunes femmes sont beaucoup plus plus susceptibles de rechercher activement du porno que les femmes de plus de 25 ans.
Cependant, plus de la moitié des femmes de 25 ans ou moins n’ont jamais cherché de porno contre 27% chez les femmes de plus de 25 ans.

Utilisation du mobile

La plupart des jeunes adultes envoient des « sextos » ou des images explicites à des fins sexuelles.
62% des jeunes adultes ont reçu une image sexuellement explicite et 41% en ont envoyé une.

Maîtresse Harley est une dominatrice. Elle domine la vie numérique de ses clients. Cela inclut les comptes bancaires, les mails, les réseaux sociaux , leur PC, etc.. L’impact potentiel d’une session avec elle peut avoir de lourdes conséquences selon jusqu’où le client est prêt à aller.

Durant une session privée elle utilise des logiciels comme teamviewer qui permettent de prendre le contrôle total de l’ordinateur de son hôte. Elle consulte leurs fichiers personnels, historique de navigation, obtient leurs mots de passe pour accéder aux messageries, réseaux sociaux, etc.. Ses clients perdent le contrôle et deviennent impuissants, mais fixent d’avance les limites qu’ils ne souhaitent pas franchir. Elle peut les menacer de poster des photos ou messages compromettants sur leur mur facebook, d’envoyer des messages à leurs amis, téléphoner à leur femme, etc.. Les hommes attirés par la data domination recherchent de l’excitation, se faire peur, être terrifié, sentir qu’ils perdent le contrôle de ce qui leur arrive. Et cela peut aller très loin.. pour un de ses clients elle a posté des messages sur son mur facebook afin de mimer un état schizophrène. Pour un autre elle a posté une photo de lui travesti en femme. De quoi déclencher des réactions importantes de sa famille et amis. Ce que maitresse harley propose c’est en quelque sorte de vivre le grand frisson.

Le tarif d’une session privée de 30 minutes se monnaye entre 60 et 100$. Mais cela peut vous couter bien plus cher avec des fetish comme la domination financière par exemple. Son style ne laisse pas indifférent avec sa peau recouverte de nombreux tatouages et ses cheveux colorés. Malgré ce look alternatif elle reste très accessible et parle facilement. Elle vit actuellement à San Francisco dans un bel appartement. Elle gagne plus de 500$ par jour en moyenne ce qui n’est pas pour déplaire à son mari qui admet ouvertement apprécier l’activité professionnelle de sa femme. L’essentiel de son revenu provient de clients réguliers. Mais certains jours cela peut être le jackpot comme la fois où elle gagna 10.000$ grâce à de l’argent et des cadeaux donnés par un client adepte de domination financière. Se faire vider le portefeuille par une femme peut donner beaucoup de plaisir à certains hommes..  Afin de protéger sa vie privée elle se fait envoyer les cadeaux à une adresse postale différente, les colis lui sont ensuite réexpédiés à sa vraie adresse. Elle reçoit régulièrement des robes, chaussures, sacs à main, bijoux, chèques cadeaux, etc..

La sexualité humaine n’est pas statique mais en constante évolution. Quand une nouvelle forme de technologie émerge, nous trouvons le moyen d’y associer notre sexualité.  La question est : comment allons-nous adapter nos comportements sexuels aux futures technologies à venir  (3D, réalité augmentée, intelligence artificielle, etc..) ?

Ceara Lynch gagne sa vie en tant que modèle spécialisée dans la domination et les fétiches des plus communs aux plus insolites. Contrairement aux autres modèles elle ne retire pas ses vêtements  et ne pratique pas d’actes sexuels à proprement dit. Cette dominatrice est une experte en  humiliations verbales,  chantage consenti, déni de jouissance, tenues cuir & latex, etc..

Ceara Lynch a découvert la profession durant ses études lors d’un voyage d’échange au japon. A 17 ans elle était hébergée par une famille japonaise  qui ne parlait pas un mot d’anglais. N’ayant personne avec qui parler dans sa langue natale, elle se connectait sur le web pour passer le  temps. Très vite elle fut abordée sur les réseaux sociaux par un homme qui lui proposa 250$ pour lui acheter une bouteille de son urine. Après avoir accepté l’offre, elle se demanda s’il y avait d’autres hommes comme lui intéressés par ses fluides corporels; Très vite elle se rendit compte que ce monsieur était loin d’être un cas isolé. C’est ainsi que commença sa carrière dans le milieux de la domination et du fétichisme.

Elle réalise des shows par webcam, vidéos sur demande, ou vente d’objets personnels. Certains hommes adeptes de domination financière paient pour la regarder dépenser leur argent. Pour les non initiés, la domination financière consiste à donner son argent à une femme dominante. Ces hommes se sentent faibles en présence de femmes confiantes, et deviennent excités en regardant leurs comptes bancaires dilapidés par celles-ci. Certains vont même jusqu’à avoir le fantasmes d’être conduit à la faillite par ces dames. Une de ses expériences les plus mémorables est celle d’un homme ayant enregistré sa carte bancaire sur le site de de Saks Fifth Avenue pour qu’elle dépense 10.000$ en sacs, vêtements, chaussures et divers objets de marque. Cet homme prenait du plaisir sexuel à se faire dépouiller par des filles intéressées uniquement par son argent.

D’autres hommes donnaient les informations de contact de leur femme (mail, téléphone, etc..), puis se photographiaient dans des tenues compromettantes et humiliantes (en robe, collants, porte jartelles, etc..). Son rôle était de les faire chanter et leur extorquer de l’argent pour ne pas tout balancer à leur femme. Ses clients aimaient se retrouver dans une situation où ils étaient obligés de payer.

L’objet de jouissance de ces hommes réside dans leur soumission au pouvoir de la dominatrice et non pas dans un acte sexuel quelconque. Tout comme certaines femmes prennent du plaisir à se faire dominer par un homme, certains hommes prennent du plaisir à se faire dominer par une femme. Ce n’est pas l’acte sexuel à proprement parler qui est source de jouissance mais plutôt le pouvoir de domination exercé sur eux par la maitresse. La femme stricte, qui ordonne et humilie, devient le symbole de la toute puissance féminine, maitresse de leur jouissance masculine.

Une jeune femme s’est filmée en fondant en larmes devant sa  webcam, car elle prétend défendre un nouveau type de sexualité, le porno émotionnel.

Dora Moutot a créé une chaîne appelée « porno émotionnel»  et celle-ci est devenu très populaire auprès des Dacryphilies, des gens sexuellement excités par des femmes sanglotant, ainsi que dans la communauté bdsm.

L’artiste parisienne, qui a commencé à se filmer en pleurant devant son écran d’ordinateur, car elle se sentait seule, encourage maintenant les autres filles à pleurer aussi devant la caméra. Webcam tears est le nom de son projet collaboratif voyeuriste inspiré de Laurel Nakadate, qui a enregistré sa tristesse pendant un an dans un projet intitulé 365 jours: un catalogue de larmes.

Elle explique que montrer ses parties génitales sur internet n’a plus rien de choquant, et que les larmes sont une nouvelle expression de la pornographie. Selon Dora les émotions seraient plus choquantes qu’une queue ou une chatte aujourd’hui. Les larmes rendraient les gens plus inconfortables que le porno.

Le site dont il est question dans l’article n’est pas référencé sur 01sexcam à cause de ses nombreuses failles de sécurité déjà révélées ici ou sur certains médias alternatifs anglophones. Cette nouvelle affaire ne vient que conforter notre choix de ne pas leur faire de pub.

Après voir découvert que ce live avait déployé une très faible sécurité pour les mots de passe des modèles et clients, voici maintenant la sombre affaire des « jetons » piratés par un ex employé . Ces jetons sont généralement achetés directement à partir de l’interface client des utilisateurs, mais ce pirate prétend vendre pour des centaines de milliers de dollars des jetons à prix cassés.

Potentiellement des millions de ces jetons sont annoncés en vente sur le dark web, par une personne qui prétend être un ancien employé de la société.

Ainsi 100.000 jetons sont proposés aux prix de seulement 3 bitcoin (soit un peu moins de 10% de la valeur réelle)

Cet ex employé et son complice auraient ajouté des failles dans le code du site pour alimenter certains comptes clients afin de leur permettre de transférer des jetons pour ensuite les transférer aux acheteurs.

Plus étonnant encore la plupart de leurs clients seraient des modèles qui utiliseraient ces jetons hackés pour créditer leurs comptes et gagner de l’argent. Mais vu que ces crédits n’ont pas été payés par des clients cela crée des pertes pour le site.

Les pirates disent vouloir vendre leurs jetons à quiconque pour un très bas prix afin de détruire le live qui les employait jadis. Chaque fois qu’un modèle est payée avec ces jetons hackés, le live doit reverser 0,05 $ par token gagné, mais si ces jetons ont été générés sans achat réel, le site perd de l’argent.