Une jeune femme s’est filmée en fondant en larmes devant sa webcam, car elle prétend défendre un nouveau type de sexualité, le porno émotionnel.
Dora Moutot a créé une chaîne appelée « porno émotionnel» et celle-ci est devenu très populaire auprès des Dacryphilies, des gens sexuellement excités par des femmes sanglotant, ainsi que dans la communauté bdsm.
L’artiste parisienne, qui a commencé à se filmer en pleurant devant son écran d’ordinateur, car elle se sentait seule, encourage maintenant les autres filles à pleurer aussi devant la caméra. Webcam tears est le nom de son projet collaboratif voyeuriste inspiré de Laurel Nakadate, qui a enregistré sa tristesse pendant un an dans un projet intitulé 365 jours: un catalogue de larmes.
Elle explique que montrer ses parties génitales sur internet n’a plus rien de choquant, et que les larmes sont une nouvelle expression de la pornographie. Selon Dora les émotions seraient plus choquantes qu’une queue ou une chatte aujourd’hui. Les larmes rendraient les gens plus inconfortables que le porno.